La crise contribue fortement à la progression des technologies et à l’adoption de nouveaux modes de vie écologistes.
En effet ,55% des consommateurs se déclarent globalement très concernés par les problèmes liés à l‘environnement.
En matière de logement, ils sont ainsi de plus en plus enclins à faire des économies d’énergie, par exemple en ajustant les réglages de leur thermostat ou en utilisant de l’eau moins chaude pour laver leurs vêtements. Mais 80% de ceux qui réduisent la consommation d’énergie de leur foyer le font avant tout pour des raisons de coût…
Là est la contradiction à laquelle on assiste d’un coté nous avons toujours des « consommateurs » qui changent leurs habitudes alimentaires,énergétiques pour des raisons économiques et/ou par conviction et contribuent donc à la progression rapide de l’écologie (achat de produits bios, recyclés…)
Mais à coté de ces consommateurs écologistes d’un nouveau type, équipés de plaques à induction plus économes en énergie, qui produisent de l’électricité verte (photovoltaïque, éolienne) bref disposant de tout le confort moderne, il existe un autre écologiste, le Décroissant …
Ce décroissant est un écologiste d’un autre type,qui refuse tout le progrès voici sa définition:
La différence entre développement durable et décroissance ?
Voici ce qu’en dit le site décroissance.info : « Ces deux notions peuvent paraître proches mais elles sont radicalement opposées… En quelques mots on peut dire que le ’développement durable’ cherche à concilier croissance économique et respect de l’environnement alors que la ’décroissance’ considère que la croissance économique est un des principaux facteurs de la destruction de notre environnement. »
Tout ceci n’est pas exhaustif, il y a aussi les locavores qui ne consomment que des produits saison et de proximité pour réduire les dépenses d’énergie, et relancer ainsi des microterroirs.
Alors ou se situe la vérité en matière d’écologie ? A vous de choisir