Il a incarné le beau docteur Ross pendant de nombreuses années, dans la célèbre série « Urgences », qui l’a propulsé au rang de Star. C’est un peu le grand frère des non moins attractifs docteurs Glamour et Mamour (grey’s anatomy). Mais notre George Clooney n’a pas qu’un physique, il a aussi un cerveau et depuis quelques années il s’engage pour la protection de l’environnement, et ses rôles s’en ressentent.
Dans le film« Michael Clayton », sorti en 2007, il campe un avocat luttant contre une multinationale agrochimique peu scrupuleuse.
En 2007 toujours, le président du groupe Swatch, l’invite à intégrer le conseil d’administration de sa nouvelle entreprise énergétique, dédiée au développement d’énergies propres et renouvelables. L’objectif étant de réduire les émissions de CO2 des moteurs de voitures et piles à combustible* (*technologie «propre», basée sur l’utilisation de l’hydrogène comme combustible). L’acteur quitte alors le projet de film « White Jazz », pour prendre part à l’aventure.
Lorsqu’il craque pour un joli bolide (ben oui, on est à Hollywood quand même !), il opte pour la Telsa Motors, une voiture de sport électrique à la ligne féline qui n’a rien à envier à ses consœurs ultra polluantes. Pour ses petits déplacements en ville, il s’est offert la Tango, une mini voiture électrique (au design discutable…) créée en édition limitée par la société britannique Provide.
Le ciel est bleu, les oiseaux chantent, George est au volant de sa voiture électrique et soudain d’un coup de volent, il dévale la colline de notre estime avec une petite phrase : « What Else ? » Comment ça what else ? Non, rien d’autre ! C’était parfait, ça aurait dû s’arrêter là … Mais il l’a fait ! Depuis plusieurs années il est l’ambassadeur de la marque Nespresso. Vous savez ? Les dosettes en alu que la plupart des gens jettent à la poubelle comme de vulgaires mouchoirs …
Alors certes, (pour se donner bonne conscience ?) Nestlé s’est allié au programme Ecolaboration, par lequel le groupe s’engage à s’approvisionner à 80% en café issu d’une agriculture durable, à réduire de 20% l’empreinte carbone liée à la préparation de chaque tasse de café avec, entre autres, des machines moins polluantes et, enfin, à recycler 75% des capsules d’ici à 2013. Mais tout de même… du café en dosette …
Inutile de nous faire les yeux doux George, tu nous as déçu !