Une expérience de 6 mois qui devrait permettre, selon la Lufthansa, d’émettre 1.500 tonnes de dioxyde de carbone en moins sur ce vol.
La Lufthansa espère que le biocarburant représentera en 2020 entre 5 et 10% de la consommation totale de sa flotte (ce qui est impossible en l’état actuel, en raison de la production de biocarburant pour le moment insuffisante).